4 février 2015
JEAN JOSEPH SURIN
Et ce qui m’accablait, c’est que les paroles que Dieu
dit à mon âme étaient si douces et si pénétrantes,
qu’elles me renversaient tantôt contre une muraille,
tantôt contre une autre, et ce qui achevait de m’accabler,
c’est que parfois il m’était demandé intérieurement :
Eh bien, Dieu est-il bon ?
J.-J., Surin, Science expérimentale des choses de l’autre vie.
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