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Y'A UNE ROUTE... Il y a dans le cœur de chaque homme un vide en forme de Dieu, et nul autre que Lui ne peut le combler. Pascal

15 août 2019

LA CONTEMPLATION DANS LA VIE QUOTIDIENNE PJ 148

L'âme noble et sensible peut même être la plus simple, mais avec des sentiments délicats ; une telle âme voit Dieu en tout. Le rencontre partout, sait trouver Dieu même dans les choses les plus secrètes. Tout a de l'importance pour elle, elle apprécie tout, elle remercie Dieu pour tout, elle tire un profit spirituel de tout et remet à Dieu toute la gloire. Elle a confiance en Lui et ne se trouble pas quand vient le temps des épreuves. Elle sait que Dieu est toujours le meilleur Père, et elle fait peu de cas de l'opinion humaine. Elle suit fidèlement le moindre souffle de l'Esprit Saint, elle jouit de cet Hôte spirituel et se tient près de Lui comme un enfant près de sa mère. Là, où d'autres âmes s'arrêtent et ont peur - elle passe sans crainte et sans difficultés. PJ 148

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11 août 2019

LA CONTEMPLATION DANS LA VIE QUOTIDIENNE PJ 887

Je ne cherche pas de bonheur en dehors de la profondeur de mon âme dans laquelle demeure Dieu, je suis consciente de cela. Je sens comme un besoin de me donner aux autres, j'ai découvert en mon âme la source du bonheur, c'est Dieu. PJ 887

11 août 2019

MESSE DES ANGES

10 août 2019

LA CONTEMPLATION DANS LA VIE QUOTIDIENNE PJ 883

Mon esprit est avec Dieu, mes entrailles sont pleines de Dieu, je ne Le cherche donc pas en dehors de moi-même. Lui, le Seigneur, transperce mon âme, comme le rayon de soleil transperce le verre clair. Avec ma propre mère, lorsque j'étais enfermée dans son sein, je ne lui était pas aussi unie que je le suis à mon Dieu ; là c'était l'inconscience , ici c'est la plénitude de la réalité, ainsi que la conscience de l'union. PJ 883

9 août 2019

EDITH STEIN : LE DON DU CONSEIL

Edith Stein. Le don du conseil. « Plus on est attiré profondément en Dieu et plus il faut aussi, en ce sens, “sortir de soi” »

Lettre du 12 février 1928 à Sœur Callista Kopf. Édith Stein. Correspondance 1. 1917-1933 , Cerf-Éditions du Carmel-Ad Solem, 770 p., 49 € (second volume à paraître en septembre).

Sainte Madeleine,

12 février 1928,

dimanche de la Sexagésime

 

Chère Sœur Callista,

J'aurais aimé répondre immédiatement à votre gentil mot pour la Chandeleur mais cela ne m'a pas été possible. Et comme je ne sais pas si je ne serai pas interrompue bientôt, je voudrais aller aussitôt in medias res (i.e. : en venir au cœur du sujet) et répondre à vos questions les plus importantes. Naturellement, la religion n'est pas à vivre dans un petit coin tranquille, durant quelques heures, pour les grandes fêtes, mais elle doit, comme vous le ressentez vous-même, être racine et fondement de toute la vie, et ce pas seulement pour quelques élus, mais pour tout chrétien véritable (assurément, il n'y en a toujours qu'un « petit troupeau »). C'est au contact de saint Thomas (d'Aquin) que j'ai vraiment compris pour la première fois qu'il est possible de pratiquer la science comme un service de Dieu (…). Et ce n'est qu'à partir de ce moment-là que j'ai pu me décider à reprendre sérieusement un travail scientifique. À l'époque qui précéda immédiatement ma conversion, et durant toute une période ensuite, j'ai pensé que vivre la religion signifiait faire abstraction de tout ce qui est terrestre pour ne vivre qu'en pensant aux choses de Dieu. Mais j'ai progressivement compris qu'il nous est demandé autre chose en ce monde et que, même dans la vie la plus contemplative, on n'a pas le droit de couper la relation avec le monde ; je crois même que, plus on est attiré profondément en Dieu et plus il faut aussi, en ce sens, « sortir de soi », c'est-à-dire aller vers le monde pour y porter la vie divine.

Il importe simplement d'avoir dans les faits un coin tranquille où l'on puisse converser avec Dieu comme si absolument rien d'autre n'existait, et cela chaque jour : les heures matinales me semblent convenir pour cela, avant que le travail ne commence ; d'autant que l'on reçoit là sa mission particulière, au mieux aussi jour après jour, et que l'on ne choisit rien de soi-même, enfin, que l'on se considère purement et simplement comme un instrument, et spécialement les facultés avec lesquelles on doit particulièrement travailler, à savoir dans notre cas, l'entendement que nous considérons non pas comme ce que nous manions, mais ce que Dieu manie en nous.

Vous avez là ma méthode et je suppose que vous aurez de Sœur Dolorosa une méthode fort peu différente ; je ne lui ai pas encore parlé à ce sujet. Ma vie commence, neuve, chaque matin et s'achève chaque soir ; nous ne devons pas faire de plans et de projets au-delà ; c'est-à-dire que cela peut naturellement faire partie de notre travail quotidien de prévoir – un enseignement, par exemple, serait sinon impossible – mais cela ne doit jamais devenir « un souci » pour le jour suivant. Vous comprendrez ainsi que je ne peux accepter que vous disiez que je suis « devenue quelqu'un ». Il semble que la sphère de ma tâche journalière se soit étendue. Mais cela ne change rien à ce que je suis, selon moi. On me l'a demandé et j'ai donc accepté la tâche, bien que je ne voie pas encore clairement les moyens concrets. Le 15, je penserai à vous. J'aimerais que vous fassiez lire cette lettre à Sœur Agnella parce que je ne peux lui en écrire une. Mais seulement si cela ne vous gêne pas. Sinon, transmettez simplement aux deux sœurs mes amitiés et mon souhait de les revoir (…).

Avec toutes mes amitiés,

votre E. St.

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9 août 2019

LA CONTEMPLATION DANS LA VIE QUOTIDIENNE PJ 193

Mon coeur est la demeure permanente de Jésus. Personne n'y a accès que Lui. C'est en Jésus que je puise la force de combattre les difficultés et les contrariétés. Je désire passer en Jésus pour pouvoir me donner parfaitement aux âmes. Sans Jésus, je ne pourrais m'approcher des âmes, car je sais ce que je suis moi-même. J'absorbe Dieu en moi pour le donner aux âmes. PJ 193

8 août 2019

LA CONTEMPLATION DANS LA VIE QUOTIDIENNE PJ 318

Je ne perds pas la présence de Dieu dans mon âme et je lui reste étroitement unie. Avec Lui je souffre, avec Lui je me réjouis, je vis en Lui et Lui en moi. Je ne suis jamais seule, car Il est mon compagnon de tous les instants. Il m'est présent à chaque moment. Notre intimité et étroite par l'union du sang et de la vie. PJ 318

6 août 2019

SANS LE SANG PAS DE PARDON

Car la vie d’un être de chair est dans le sang, et moi, je vous le donne afin d’accomplir sur l’autel le rite d’expiation pour vos vies ; en effet, c’est le sang, comme principe de vie, qui fait expiation. Lv 17, 11

AELF

6 août 2019

TRANSFIGURATION

EFGBEF

5 août 2019

LA LUMIÈRE DU DÉSERT - LIGHT OF THE DESERT

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Y'A UNE ROUTE... Il y a dans le cœur de chaque homme un vide en forme de Dieu, et nul autre que Lui ne peut le combler. Pascal

"Venez à Moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et Moi je vous soulagerai" (Mt 11, 28) *** "La foi c'est l'intelligence éclairée par l'amour." Simone Weil
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