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Y'A UNE ROUTE... Il y a dans le cœur de chaque homme un vide en forme de Dieu, et nul autre que Lui ne peut le combler. Pascal

19 janvier 2018

LA FIN DES CHRÉTIENS D'ORIENT ?

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17 janvier 2018

LES CANTIQUES SPIRITUELS - EXTRAITS - JEAN TAULER

De la nudité intérieure et de l’abandon que nous devons faire
 de nous-mêmes et de toutes choses

 Il me plaît de chanter à nouveau la nudité intérieure.
 La vraie pureté est exempte de pensées.
 Il n’y a plus de pensée, là où il n’y a plus rien de mien.
 
 Je suis réduit à rien. 
 Quand on est arrivé à la nudité d’esprit, il n’y a plus de souci à avoir.
  Nul mal ne saurait désormais me troubler.
 Je me délecte tellement dans la pauvreté que je ne puis plus m’occuper des choses et des images qui m’entourent.
 Que dis-je ? Le moi ne m’appartient plus, j’en suis dégagé, je suis libre.
  
 Je suis réduit à rien.

 Quand on est arrivé à la nudité d’esprit, il n’y a plus de souci à avoir.
 Comment me suis-je délivré des images, me demandez-vous ?
 Cela s’est fait quand j’ai trouvé en moi la véritable unité.
 Mais qu’est-ce que la véritable unité ?
 C’est quand rien ne m’a ému, ni l’adversité, ni le bonheur. (...)
  
 Je suis réduit à rien.

 Or, cet éblouissement m’a donné des forces sans mesure, car j’avais pénétré Tout.
 En sa présence je ne puis pas vieillir.
 Ma jeunesse, comme celle de l’aigle, se renouvelle sans cesse ;
 tellement toutes mes puissances ont été éteintes et englouties.

SOURCE

15 janvier 2018

MISÉRICORDE - ACTE D'AMOUR

Tu dois témoigner aux autres la miséricorde toujours et partout, tu ne peux pas t'en écarter, ni t'excuser, ni te justifier.

PJ 742

Jésus désire que ses adorateurs accomplissent dans la journée au moins un acte d'amour du prochain (p.23)

8 janvier 2018

SOLENNITÉ DU BAPTÊME DE NOTRE SEIGNEUR

«Le Christ est baptisé non pour être sanctifié par les eaux, mais pour sanctifier lui-même les eaux et purifier les flots qu'il touche. Dès le moment où le Sauveur est baptisé, les eaux deviennent pures en vue de notre baptême ; la source est purifiée pour que la grâce soit procurée aux peuples qui viendront.»
Saint Maxime, évêque de Turin au Ve siècle

25 décembre 2017

COMMUNAUTÉ DES MOINES DE L'ABBAYE NOTRE DAME D'OELENBERG

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11 décembre 2017

SAINT AMBROISE

« Si tu brûles de fièvre, Il est la Source qui rafraîchit.
Si tu es oppressé par tes fautes, Il est la Délivrance.
Si tu as besoin d’aide, Il est la Force.
Si tu as peur de la mort, Il est la Vie.
Si tu désires le ciel, Il est la Voie.
Si tu fuis les ténèbres, Il est la Lumière.
Si tu as besoin de nourriture, Il est l’Aliment. »

10 décembre 2017

FEUILLE DU DIMANCHE

+
10.12.2017
Pour prolonger ce dimanche...
UNE LUMIÈRE QUI FAIT VOIR L’INVISIBLE
Il est un avènement spirituel qui, par sa place dans le temps et par
sa ressemblance avec eux, tient le milieu entre les deux avènements
corporels du Christ. Comme un intermédiaire, pour ainsi dire, il
participe à la nature de l’un et de l’autre. En effet, le premier
avènement du Seigneur a été caché et humble ; le dernier sera
manifeste et admirable. Or celui-ci est caché certes, mais admirable. Je
peux le dire caché, non que celui qui en est l’objet l’ignore, mais parce
qu’il lui advient secrètement. De là vient que cette âme glorieuse se
glorifie en elle-même et dit : "
Mon secret est à moi, mon secret est à
moi
!". Mais celui-là même en qui le Seigneur vient ne peut le voir
avant d’en jouir, comme le bienheureux Job le déclare pour sa part :
"
S’il vient à moi, je ne le verrai pas, et s’il s’en va, je n’en aurai pas
connaissance
." On ne le voit pas venir, on ne s’aperçoit pas de son
départ ; c’est uniquement lorsqu’il est présent, qu’il est pour l’âme une
lumière qui lui fait voir l’invisible et connaître l’inconnaissable.
Par ailleurs, comme cet avènement du Seigneur est admirable
bien que caché ! De quel doux et joyeux saisissement il suspend et
ravit l’âme qui le contemple ! Comme tous les os de l’homme intérieur
lui crient : "
Seigneur, qui est semblable à toi
!" Ceux-là le connaissent
qui l’ont éprouvé ! Quant à ceux qui ne l’ont pas éprouvé, puissent-ils
avoir un vrai désir d’en faire l’expérience, pourvu que ce ne soit pas
une curiosité téméraire qui les porte à scruter la majesté au risque
d’être accablés par la gloire, mais que ce soit un amour plein de respect
qui les fasse soupirer après le Bien-aimé, pour être accueillis par la
grâce.
Le premier avènement a donc été celui de la grâce ; le dernier
sera celui de la gloire. Celui-ci est à la fois de gloire et de grâce : par la
grâce qui nous console, il nous procure comme un avant-goût de la
gloire future. Si dans le premier, le Dieu de Majesté s’est montré
méprisable, et si dans le dernier, il doit apparaître redoutable, dans cet
avènement intermédiaire il apparaît à la fois admirable et aimable : la
condescendance de la grâce qui le rend aimable, ne l’expose pas au
mépris, mais à l’admiration ; et la magnificence de la gloire qui le rend
aimable, n’inspire pas la terreur, mais plutôt la consolation.
Moment merveilleux et tout aimable que celui où le Dieu-Amour
pénètre dans l’âme qui aime, où l’Époux étreint l’Épouse dans l’unité
d’esprit, où elle se trouve transformée en cette même image par
laquelle elle contemple, comme dans un miroir, la gloire du Seigneur.
Qu’ils sont heureux ceux dont l’ardente charité a déjà mérité d’obtenir
cette faveur ! Mais bienheureux aussi ceux dont la sainte simplicité
peut espérer de l’obtenir un jour !
Guerric D’IGNY
8 décembre 2017

MARIE DE LA TRINITÉ

(...) Son esprit de foi se révéla surtout dans son emploi de sacristine. Je me suis trouvée quelquefois avec elle pendant qu'elle préparait la Messe du lendemain et j'étais vivement édifiée [8] de voir avec quelle foi, quel respect et quel soin elle s'en acquittait. Elle m'exprimait son bonheur d'avoir, comme les prêtres, le privilège de toucher les vases sacrés, de préparer comme Marie, les langes de l'Enfant-Jésus. Elle les baisait avec amour ainsi que la grande hostie qui allait être consacrée. Un jour, je la rencontrai sous le cloître, son recueillement me frappa, elle semblait porter quelque chose de précieux qu'elle abritait soigneusement avec son scapulaire. Au moment où je la croisai, elle me dit à voix basse d'un ton ému : « Suivez-moi, je porte Jésus ! » Elle venait de retirer de la table de Communion la petite plaque dorée sur laquelle elle avait découvert une parcelle assez notable de la sainte Hostie. Je la suivis jusqu'à la sacristie où, après qu'elle eut déposé son Trésor, elle me fit mettre à genoux près d'elle pour prier, jusqu'à ce qu'elle pût le remettre au prêtre qu'elle avait fait avertir (...)

Tout lire...

7 décembre 2017

SAINT CURÉ D'ARS - SERMON SUR LE RESPECT HUMAIN

Combien de fois, étant chez vous, et faisant quelques prières ou quelques lectures de piété, vous êtes-vous caché voyant venir quelqu’un ! Combien de fois le respect humain vous a fait violer la loi du jeûne ou de l’abstinence, et n’oser pas dire que vous jeûniez, ou que vous ne faisiez pas gras ! Combien de fois vous n’avez pas osé dire votre Angelus devant le monde, ou vous vous êtes contenté de le dire dans votre cœur, ou vous êtes sorti pour le dire dehors ! Combien de fois vous n’avez point fait de prières le matin ou le soir, parce que vous vous êtes trouvé avec des personnes qui n’en faisaient point ; et tout cela, de crainte que l’on ne se moquât de vous !

Allez, pauvre esclave du monde, attendez l’enfer où vous serez précipité ; vous aurez bien le temps de regretter le bien que le monde vous a empêché de faire. Ah ! mon Dieu, quelle triste vie mène celui qui veut plaire au monde et au bon Dieu ! Non, mon ami, vous vous trompez. Outre que vous vivrez toujours malheureux, vous ne viendrez jamais à bout de plaire au monde et au bon Dieu ; cela est aussi impossible que de mettre fin à l’éternité. Voici le conseil que j’ai à vous donner, et vous serez moins malheureux : ou donnez-vous tout au bon Dieu, ou tout au monde ; ne cherchez, et ne suivez qu’un maître, et, une fois à sa suite, ne le quittez pas.
Saint curé d’Ars (1786 – 1859) – Sermon sur le respect humain

sOURCE

6 décembre 2017

NOVICE AU CARMEL

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Y'A UNE ROUTE... Il y a dans le cœur de chaque homme un vide en forme de Dieu, et nul autre que Lui ne peut le combler. Pascal

"Venez à Moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et Moi je vous soulagerai" (Mt 11, 28) *** "La foi c'est l'intelligence éclairée par l'amour." Simone Weil
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